Électronisme, une Autre Physique
Électronisme, une Autre Physique
Électrons, lumière, Vie,
Signes Fantômes
Voir aussi Chapitre VI, La Vie
Signes-fantômes - 5 - 20,10,2014
Les premiers textes sont tout en bas
Les signes-fantômes sont visibles, en clignant des yeux un peu au début, sur l’écran de l’ordinateur.
Sur les zones avec dessins très colorés et très découpés, comme le feuillage d’un arbre ou une pelouse.
Et aussi sur les fonds unis : avec des couleurs différentes, soit plus claires soit plus foncées que le support.
Aussi sur le fond blanc des pages sur lesquelles j’écris…
(27 octobre) Sont visibles de la même façon avec ou sans mes lunettes, sur supports proches ou lointains…
Lorsque je penche la tête, les lignes s’inclinent, comme pour suivre mon « horisontalité » habituelle.
La grosseur des lettres dépend de la distance au support sur lequel on les lit, ou on essaye de les lire, comme pour qu’elle soit lisible en permanence.
Il est possible de reconnaître une ou plusieurs lettres, mais elles sont trop changeantes pour que réussir à comprendre un mot d’un groupe de lettres.
Nous reprenons et complétons des explications proposées.
Au chapitre VI de mon essai, La Vie sur Terre, j’explique le transfert des informations dans le système nerveux par des perturbations de l’espace interne des organes, depuis les plus petits, jusqu’à l’ y compris les neurones eux-mêmes. Les enveloppes de tous les organes, puis de l’organisme, régulent ces déplacements en fonction de leu intensité, correspondant à la puissance du signal du sens concerné.
Les enveloppes des organismes, la peau pour les êtres Humains, ont probablement une perméabilité variable selon les individus, créant autour d’eux des zones plus ou moins étendues dans lesquelles les perturbations sont encore sensibles.
Nous ne comprenons pas encore très bien comment elles nous le seraient visiblement sans les yeux puisqu’elles « me » sont sensibles dans la tache sombre de ma DMLA.
Des individus d’une même espèce pourraient être plus sensibles que d‘autres dans leurs contacts avec l’extérieur, y compris les autres êtres vivants, selon les circonstances.
Des rapprochements seraient à faire avec les études de Docteur Franz Anton Mesmer au XIXè siècle et les traditions du toucher dans toutes les civilisations humaines. Il existe probablement un rapport entre ces phénomènes et les bases de l’acupuncture, la réflexologie et les rebouteux.
Des observations récentes de mes « contacts » avec les mouches sont assez étonnantes. J’en ai écrit une petite histoire le 19 octobre 2013. Voir Études rapides
Dernièrement, désirant chasser une grosse mouche noire de la grande vitre de ma pièce à vivre, j’ai approché, presque à la toucher, ma main de la mouche. Elle esquivait les doigts qui la suivaient et un autre doigt devant elle ne l’a pas forcée à partir… Elle a fini par voler un peu et se poser sur un la main. Je l’ai portée dehors !
Comment savait-elle que je n’avais aucun sentiment hostile ?
Difficilement croyable !
SignesFantômes - 4 , 8 octobre 2014
Depuis plus d’un mois je n’avais pas fait d’observations notables…
Le soir, même dans le noir complet, les signes-fantômes m’apparaissent et le matin plus rien, même dans la tache de ma DMLA… Jusqu’à ce que la vie se reforme autour de moi.
Dans la journée, elles existent ou disparaissent selon ma façon de les regarder et mes activités intellectuelles ou pas.
Ces SignesFantômes étaient-ils réels ou seulement des manifestations très personnelles, peut-être maladives, provisoires ou définitives… Influençant ma façon de voir l’environnement ?
Et puis, le samedi 4 octobre, j’en ai photographié !
Uniquement des lignes de texte.
1.
comme celles-ci dans le bas d’un tableau.
Les lignes fantômes sont présentes sur tout le tableau, mieux marquées sur les objets que sur les plages unies.
2. Elles sont là aussi, mais à peine visibles comme elles sont d’habitude
Ou là encore :
une vue du jardin devant la maison (à travers le vitrage avec des reflets intérieurs à gauche).
Tout le paysage était recouvert de lignes de textes, visibles dès que je clignais des yeux, puis les ouvrais complètement.
4. Là, c’est sur l’ordinateur, le 8 octobre, sur le bandeau de ma page Twitter : les lignes fantômes y sont aussi…
Le 4 octobre, lorsque j’ai vu toutes ces lignes fantômes, les conditions étaient très particulières.
Ce soir-là, j’avais passé beaucoup de temps à écrire, sur l’ordinateur, — avec ma mauvaise vue, j’écris mal à la main —, à une amie qui venait de partir pour retourner chez elle, très loin…
L’écriture, mes pensées, me « prenaient » complètement.
Vers 11 heures du soir, j’ai arrêté, quitté l’ordinateur et regardé autour de moi avant d’aller me coucher.
Les murs, les tableaux, les objets, tout ce que je regardais, était couvert de lignes d’écriture, particulièrement dans les parties sombres des images ou objets. Je les voyais sans les avoir cherchées.
Dans la pénombre, j’ai regardé dans la tache de ma DMLA. Les lignes d'écriture étaient partout.
J’ai alors pris des photos avec mon petit appareil, assez peu performant. J’ai vérifié, les lignes étaient là… Parfois difficiles à reconnaître…
J’ai tout rangé, et me suis mis au lit pour essayer de dormir, au milieu de ces signes. Je me relevais une heure après… Tous les signes étaient encore là, partout…
J’ai fini par pouvoir dormir…
Le lendemain matin, les signes n’existaient plus. Je les ai cherchés et n’ai vu difficilement que les dessins habituels.
Devant l’ordinateur j’ai repris la lettre de la veille. Les lignes de texte sont revenues, partout où je regardais, même dehors sur les arbres, la pelouse et la petite terrasse devant la maison et sur le crépi granulé gris du mur, à l’extérieur…
J’ai encore pris quelques photos…
Il me faut maintenant essayer de comprendre…
En reprenant des activités normales, habituelles, les grandes lignes de texte disparaissent, il me faut chercher pour retrouver signes et textes fantômes.
Je les retrouve toujours, plus ou moins rapidement.
Serais-je vraiment le seul à les voir, à apercevoir des images-objets de quelque chose qui n’existe pas matériellement dans notre vie quotidienne. Des lettres, lignes de texte, des dessins qui changent constamment sans qu'on puisse comprendre, ni quelques mots du texte, ni des formes signicatives des dessins…
Ils représenteraient quelque chose en liaison avec la pensée, modification permanente et profonde d’idées qui varient avec les petites protéines du système nerveux, les nerfs, synapses, sites divers spécialisés, dont le cerveau.
Tout cela aurait-il un rapport avec notre façon d’enregistrer les contacts avec l’extérieur, et leur transmission avec l’influx nerveux dans nos organes jusqu’à notre limite, la peau, qui ne serait pas hermétique et permettrait de faire sortir certaines informations ?
J’explique l’influx nerveux par des modifications de l’espace interne des organes. En prenant pour modèle les liaisons ou modifications des composés d’électrons avec perturbations de l'éther de l’espace. Ces perturbations se déplacent et modifient des fonctionnements partout où elles arrivent, selon l’état des matières et objets. La lumière en est une exploitation par les êtres vivants, comme nous l’expliquons au chapitre IV.
Dans l'espace interne des systèmes nerveux, les modifications des protéines peuvent perturber l’espace interne des organes, même les plus petits, y compris celui des neurones et leurs sites variés, avec toujours déplacement des perturbations tout autour du phénomène nouveau, même très faible… Les enveloppes des organes peuvent en bloquer selon leur force et la qualité des enveloppes.
Mais tout cela est une proposition théorique.
Est-ce que des scientifiques pourraient expliquer comment cela fonctionne réellement ?
De nombreuses recherches vont déjà dans ce sens et n'empêchent aucunement de se rapprocher de ce que je propose.
Les signes-fantômes pourraient aider à comprendre les phénomènes réels et difficilement explicables des contacts entre individus humains et les autres êtres vivants ?
Comme ces recherches en cours concernant la télépathie (Grau C, Ginhoux R, Riera A, Nguyen TL, Chauvat H, et al. (2014) Conscious Brain-to-Brain Communication in Humans Using Non-Invasive Technologies. ),
ou celles expliquant que des personnes amputées d’une main ou de doigts ont des sensations à travers les prothèses, qui sont très proches des parties vivantes de leurs membres :
L’information provient et concerne particulièrement « the prosthetic system being developed by Case Western Reserve University and the Louis Stokes Cleveland Veterans Affairs Medical Center. »
« Amputees discern familiar sensations across prosthetic han : »
© PhD 8 octobre 2014
Résumé au 16,08,2014 - Tentative d’explication
Lire aussi, ci-dessous, « Toute l’histoire » - 5 août 2014
En regardant soigneusement un endroit libre de couleur unie, papier, mur lisse, objets divers, après quelques secondes, nous voyons des lignes de texte ou des dessins de formes très fines, irrégulières et mouvantes, un peu plus foncées ou claires que la zone regardée. Tout est parfois à peine visible ou sensible, mais existe en permanence.
Les lettres bougent sans arrêt comme si les mots changeaient, ce qui empêche de lire les textes.
Regardés à travers une loupe, les lettres ou les dessins ne sont pas modifiés, mais la loupe ne les agrandit pas, alors qu’elle le fait pour les objets autour, comme si ces lignes d'écriture et signes étaient insensibles à la loupe, ou se trouvaient entre la loupe et les yeux.
Les lignes de mots ou les images apparaissent sur toutes les surfaces de couleur unie autour de moi. Quand je penche la tête d’un côté ou de l’autre, les lignes d’écriture suivent la ligne de mes yeux et donnent l’impression d’être projetées depuis mes yeux…
Je les vois partout et même dans la tache de ma DMLA.
Est-ce qu’un aveugle complet — DMLA aux 2 yeux, ou autre défaut — les verrait ?
Ce ne sont donc pas les yeux qui voient ces images.
Existent-elles partout ?
Ou bien, suis-je seul à les voir ?
Non ! Tout le monde peut les voir. Mais personne ne les remarque, probablement parce qu'on sait, ou on croit savoir, qu’elles pourraient être liées au fonctionnement des yeux ou autre phénomène, dans les organes et organismes…
Cela remet en cause de nombreux phénomènes physiques de l’univers et du fonctionnement des êtres vivants, comme la lumière, la vue, les contacts et sens ou sensations, le fonctionnement du système nerveux… confirmant probablement certaines de mes propositions qu’il faut réexaminer.
Reprenons les phénomènes qui pourraient être liés à ces signes-fantômes.
Les objets « êtres vivants » sont créés et constitués exactement comme tous les autres objets de matière dans l’espace, avec une enveloppe ou « limite » extérieure créée par la gravité de l’objet ou de ses parties.
Ces objets sont dans l'éther de l'espace.
Ils sont en continuelle modification ou création de leurs petites protéines avec perturbations des électrons de l’espace, transmettant plus ou moins loin dans l’espace interne, — et probablement externe dans certains cas, pour les plantes par exemple et voir ci-dessous —, les informations concernant ces modifications. Voir l’étude de l’influx nerveux au Chapitre VI.
Ces dernières années, des recherches ont montré que le sens de toucher est le seul à agir à l'intérieur des organismes des êtres vivants. Les attributs comme les yeux, le nez ou la langue sont des accessoires de ce sens.
Les signes-fantômes, lignes de texte ou dessins, apparaissent comme une visualisation des perturbations internes et les lettres et mots pourraient correspondre à des pensées qui varient en permanence, jusqu'à une décision inconsciente qui modifie un site mémoire ou effecteur. Les enregistrements paraissent n’être pas réalisés immédiatement, comme s’il fallait attendre la fin de la réflexion.
Ces remarques semblent irréalistes comme le fait de croire que nous voyons ces perturbations dans les signes-fantômes…
Comment et pourquoi voyons-nous ces signes fantômes ?
Cela confirmerait le transfert de toutes les informations, — même celles en cours de création —, par les perturbations de l’éther de l’espace interne des organes et organismes.
Le transfert d’informations par les nerfs, leurs synapses et milliards de connexions ne rend pas compte de la finesse des informations en modification continuelle.
Les signes fantômes pourraient correspondre à des particules créées dans l'espace interne des organes et autour, à leur limite externe pour déterminer cette limite, variable avec la qualité des matières.
De la même façon que se créent tous les corps et objets, — en même temps que la gravité interne —, tel qu’expliqué au chapitre III.
Les variations des petites protéines dans les organes et organismes formeraient autour d’eux un faible nuage gravitique, tel l’atmosphère autour des objets.
Les signes fantômes ne varient pas immédiatement selon les activités… Ce qui pourrait être un début d’explication du fonctionnement d’un quasi-système nerveux des plantes et tous autres êtres vivants.
À voir aussi :
La lumière : chapitre IV
La vie et l’influx nerveux : chapitre VI.
Voir ci-dessous l’histoire complète, publiée le 5 août 2014.
À suivre…
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5 août 2014
Toute l’histoire !
Revenu hier de la clinique, je suis installé devant mon ordinateur. Il est neuf heures du matin.
Je détache quelques petits papiers collés au mur juste sous l’éclairage de la lampe et je regarde ce petit morceau de mur blanc d’environ 20 cm de large sur 10 cm de haut.
Mes yeux sont à environ 50 cm du mur. Je les ferme un peu pour réduire la luminosité. Les lignes que j’attendais apparaissent. Elles sont à peine visibles en bleu clair sur la place libre, blanche, légèrement jaunie par la lumière de l’ampoule.
J’ouvre les yeux complètement. Les lettres, de 3 à 4 millimètres de hauteur, continuent à être visibles et bougent sans arrêt comme si les mots changeaient. Je ne peux rien lire. Le texte est très net mais la couleur bleue des lettres est trop faible, sur le fond uni du mur. Je vais essayer avec ma loupe. Je les regarde à travers la loupe. Les lettres sont un peu plus marquées, mais la loupe ne les agrandit pas, alors qu’elle le fait pour les papiers collés au mur tout autour. Je ne peux pas comprendre les mots, parfois remplacés par des dessins se modifiant en permanence…
Maintenant, il me faut reprendre et tout raconter. Ce n'est pas très long mais je dois expliquer toutes les circonstances…
Depuis deux mois je suis suivi par un chirurgien qui essaie de déboucher les artères de mes jambes. Tout se passe correctement mais j'ai dû être opéré deux fois à 1 mois d’intervalle, avec deux petits séjours dans une clinique, trois jours la première fois, quatre cette semaine.
À la clinique, j’étais chaque fois seul dans une chambre relativement grande, avec le volet de la fenêtre à moitié baissé, réduisant la lumière du dehors, sans modification entre la nuit et le jour.
Quand je ne lisais pas ou ne faisais rien d’autre, j’étais allongé sur mon lit, regardant le mur vide, à 3,5 mètres devant moi et le plafond à 2,50 m de haut. Le mur est gris clair, le plafond blanc formé de carreaux de vingt centimètres de côté, à structures superficielles différentes ce qui les rend de couleur changeante selon l’éclairage et l'endroit d’où on les regarde.
Ma vue n'est pas très bonne. L'œil gauche est atteint de DMLA qui me laisse quand même un cercle clair tout autour. Ma vision de l'œil droit est de 3/10. Il me faut donc des lunettes pour lire et travailler sur mon ordinateur, que j'ai réglé pour que les instructions et les textes soient grossis mais tout ne peut pas l’être. J'ai donc besoin constamment d'une loupe. Je passe beaucoup de temps devant l'ordinateur. À côté, ma vie est tout à fait normale pour un homme de 88 ans. Je conduis encore ma voiture sans difficulté mais je ne m'en sers très peu.
Lors de mon séjour de juin à la clinique, le premier soir, à la tombée de la nuit, allongé sur mon lit, déjà à moitié endormi, j'ai été surpris de voir sur le mur et le plafond des images mouvantes et des textes que je ne pouvais pas lire. Il m'a semblé voir, fugitivement, des pages de courrier et d’internet. Mais surtout le mur et le plafond devant moi étaient complètement couverts de lignes de texte, horizontales, bien parallèles. Les lettres me semblaient assez grosses pour pouvoir être lues mais elles bougeaient en permanence et rien ne m'était lisible.
Je pensais qu’un médicament nouveau, avalé à midi, avait des qualités hallucinogènes…
Mes yeux étaient certainement à moitié fermés et je n'osais pas les ouvrir pour ne pas perdre ce que je voyais. Cela a duré longtemps avec la lumière du jour, puis l’éclairage des ampoules et je continuais à regarder des textes et des images qui changeaient en permanence…
Le lendemain soir, j'ai cherché à retrouver ces images et ces textes. Ils sont revenus facilement et j'ai essayé, sans réussir, de comprendre pourquoi ils étaient là. De même le lendemain. Le jour suivant, je partais.
À la maison le soir j'ai essayé de reconstituer ce que je voyais à la clinique. Je n'ai pas réussi ce qui me confirmait que les phénomènes étaient peut-être dus à un médicament auquel je n'étais pas habitué. J'ai alors essayé de retrouver des images que je voyais souvent la nuit ou au crépuscule lorsque j'avais les yeux fermés, le soir dans mon lit. Cela m'arrivait assez souvent, pour des rêves que je voulais maintenir ou retrouver et je me suis aperçu que « je pouvais » créer des images dans la tache noire de ma DMLA.
Je ne comprenais pas et n’y pensais plus… sans l’oublier !
Cette semaine je retournais à la clinique pour quatre jours.
La chambre était semblable à celle de mon dernier séjour avec le grand mur vide, gris clair, devant moi et au dessus le plafond et ses faux carrelages blancs.
J'attendais la tombée de la nuit pour essayer de retrouver les inscriptions et dessins. C’est revenu très facilement. Le mur et le plafond étaient couverts de lignes de texte en grosses lettres bleues très claires. Il y avait environ 10 lignes dans la hauteur d'un carreau du plafond. Je ne pouvais pas lire les lettres qui semblaient bouger ou se modifier en permanence. Les mots m’étaient incompréhensibles. Il est même apparu, pour un court instant, à droite du grand mur, deux images, un gros bouquet de fleurs « pointues » légèrement colorées et autre chose à côté que je n'ai pas reconnu.
Ailleurs c'était du texte, des lettres bleues dont la couleur changeait un peu au plafond pour passer d'un carré à l'autre. J'avais les yeux grands ouverts et je pouvais tourner la tête, regarder en haut, en bas, le mur et le plafond étaient toujours couverts de ces écritures bleues.
J'ai essayé de comprendre en liaison avec mes théories concernant le système nerveux… Un peu ennuyé par ce que mes théories ne pouvaient pas accepter ce phénomène… Puis je me suis endormi !
Les deux jours suivants, j'ai continué à étudier ces lettres fantômes sur le mur. Je pouvais les faire apparaître en plein jour, diminuant un peu la lumière au début, en fermant les yeux, puis je les ouvrais complètement et les lettres et images restaient lisibles. Je pouvais tourner la tête, regarder n’importe où sans que l'ensemble soit modifié même si tout était continuellement mouvant.
Lorsque j'étais occupé à d'autres activités, les textes et images disparaissaient mais je pouvais les reconstituer rapidement avec les yeux ouverts. Il me fallait chaque fois entre 10 et 15 secondes pour recréer ou distinguer des signes fantômes.
J'ai même essayé de faire apparaître des images sur ma main, devant mes yeux. Dans la paume un peu sombre, sont apparues des petites lignes de lettres noires de deux millimètres de hauteur environ. Les lignes étaient disposées en travers des doigts et la paume pour que je puisse bien les lire. Elles étaient très nettes mais je ne pouvais pas les reconnaître. J'ai essayé de m’aider de mes lunettes et la loupe. Je voyais les lettres claires et nettes avec ma loupe mais elles n’étaient pas grossies alors que tous les détails de la main l’étaient normalement, comme si ces lignes d'écriture étaient insensibles à ma loupe, ou qu’elles se trouvaient entre la loupe et mes yeux.
Alors j’ai essayé avec la loupe de lire les lettres du mur et du plafond. Restant allongé sur mon lit, la loupe rendait flous, bien sûr, les objets réels éloignés comme le petit appareil de sécurité accroché au plafond, au milieu des textes bleus. Mais les textes ne changeaient pas. La loupe ne les agrandissait pas et ne les rendait pas flous. Comme si, là encore, ils se trouvaient situés quelque part entre le mur ou le plafond et mes yeux. La loupe me montrait tous les objets réels à deux ou 3 m de moi complètement flous mais des lettres ou les dessins bleus n'étaient absolument pas modifiés.
Les jours suivants, mes essais et observations ont continué. Les lignes de mots ou les images apparaissent sur toutes les surfaces claires et unies que je trouve autour de moi. Quand je penche la tête d’un côté ou de l’autre, les lignes d’écriture suivent la ligne de mes yeux et me donnent l’impression d’être projetées sur le mur depuis mes yeux…
Un jour, j'ai pris un de mes petits carnets à dessins et, sur la page blanche, se sont formées des images à peine perceptibles avec des plages claires plus ou moins importantes. Mais les lignes de textes étaient rares et même, je ne les retrouvais plus, sur aucun de mes morceaux d’étendue libre sur les murs ou n’importe quel objet assez clair.
Alors, j'ai repris mon Kindle et j'ai lu un moment, quelques minutes. Rien n’était changé. J’ai continué ma lecture, assis dans le fauteuil devant le poste de télévision. Je contrôlais sur le mur à côté. Je regardais soigneusement et je ne voyais que des dessins très fins… Puis quelques lignes à peine visibles sont apparues…
Alors je suis retourné à l'ordinateur. Sur la petite plage libre sous ma lampe, je ne voyais pas de lettre. Je me suis tourné vers l’écran, relu des textes, complété une rédaction… De temps en temps, je regardais à ma gauche contre le mur… Après un moment, des lignes sont apparues en bas des petits dessins. Puis le nombre de lignes a augmenté jusqu’à remplacer tous les dessins. Il y avait des lignes partout. Elles étaient un peu plus espacées les unes des autres que d'habitude, mais elles étaient là, mes lignes fantômes…
Maintenant, je reprends en permanence les mêmes observations. Souvent en travaillant sur l’ordinateur. Inconsciemment, les yeux un peu fermés, je tourne la tête vers la droite. Sur les étagères et le fond de mur disponible, des lignes d’écriture apparaissent partout… C’est net, changeant continuellement. Lorsque je les perds, il m’est toujours possible de les faire réapparaître.
Puis j’ai demandé à ma fille Colette de vérifier la page de mon carnet de croquis. Après l’avoir scrutée un moment :
— Effectivement, on voit des dessins, des variations à peine visibles… C’est ça ?
— Oui, c’est ça ! C’est tout !
Mais quelques jours après, elle n’a pas confirmé les voir…
J’en ai parlé un peu autour de moi, dans la famille. Personne n’a vraiment confirmé, même si certains ont cru apercevoir quelque chose, essayant de donner des explications… toutes celles que je me répétais depuis le début… Et puis… Nul n’est prophète en son pays !
Je retrouve toujours ces dessins partout. Rarement des lignes de texte. Sur toutes les surfaces unies autour de moi. Aussi sur l’écran gris de la télévision éteinte, même en le regardant avec seulement l’œil gauche dont la tache de la DMLA cache tout le poste…
— Mais alors ! Ce n’est pas avec les yeux que je les vois !
Nouvelle vérification ! Avec l’œil gauche seul, je vois les dessins fantômes sur le poste de télévision qui est caché par la DMLA ! En tournant la tête à droite, je regarde, encore uniquement avec l'œil gauche, la porte du couloir sur laquelle sont fixées quelques images. Elles ne sont pas visibles dans la tache grise de ma DMLA, mais les images fantômes apparaissent, sans interruption, se prolongeant sur la partie « libre » (sans DMLA) de la porte…
Existeraient-elles partout ?
Ou bien, suis-je seul à les voir ?
Non ! Ce n’est pas possible !
Est-ce que tous les lecteurs de ce texte pourraient vérifier en regardant soigneusement, pas trop fixement, à un même endroit, sur une page blanche ou n’importe quelle surface unie, un meuble, la porte d’un réfrigérateur par exemple… Après avoir lu un moment ou écrit ou travaillé sur un ordinateur : les « fantômes » de lignes de lettres apparaissent plus facilement que les dessins, bien que ces dessins, très fins et mouvants, existent en permanence.
Il doit falloir regarder entre 10 et 20 secondes pour les reconnaître la première fois… Ensuite tout apparaît plus facilement…
Attention, ce ne sont toujours que des fantômes de dessins et de lettres, un peu plus clair ou plus foncé que ce qui parait le fond de la place regardée, qui elle-même s’étend partout…
Que faut-il conclure de tout cela ?
Résumé des observations et conclusions provisoires :
Des images changeantes sont visibles sur tous les objets de surface unie, même noirs ou d’autres couleurs très foncées.
Tout le monde peut les voir. Mais personne ne les remarque, probablement parce qu'on sait, ou on croit savoir, qu’elles pourraient être liées au fonctionnement des yeux ou à la circulation du sang, ou autre phénomène, dans les organes et organismes…
Est-ce que tout le monde les voit de la même façon ?
Ce sont des conditions « personnelles » très particulières m’ont permis de les remarquer :
Je passe tous les jours 8 à 9 heures devant l’ordinateur…
À la clinique, le premier jour de mes observations, j'étais devant un mur uni que je voyais sans le regarder, pensant probablement à mes lectures et « études » permanentes.
Ce ne sont pas les yeux qui voient ces images.
Je les vois partout et même dans la tache de ma DMLA.
Est-ce qu’un aveugle complet — DMLA aux 2 yeux, ou autre défaut — les verrait ?
Est-ce que cela pourrait être dû à la persistance rétinienne ?
Non, parce qu’à la clinique, je voyais les lignes de texte sur toute la surface du mur, bien après avoir arrêté de lire ou d’écrire et l’apparition de lignes de textes ne sont pas toujours liées aux activités précédentes ou en cours.
Cela remet en cause de nombreux phénomènes de l’univers et du fonctionnement des êtres vivants, comme la lumière, la vue, les contacts et sensations des êtres vivants, le fonctionnement du système nerveux… confirmant probablement certaines de mes propositions qu’il faut réexaminer.
Études à réaliser
De nombreux phénomènes étudiés plus ou moins récemment pourraient être repris en tenant compte de ces signes fantômes
Études récentes des « signaux cérébraux » ?
Confirmation de ce que des électrons libres (de l’éther de l’espace) et des composés chargés existent dans tous les organes, sans courant électrique déterminé, tel que nous le concevons par ailleurs.
Études nouvelles des « relations amicales »
Certains phénomènes psychologiques pourraient être appuyés sur les signes fantômes.
Voir aussi « se laver les mains ou non »
Quelle influence sur certains jugements ou expérimentations scientifiques ?
Avec l’Électronisme
Globalement. Voir la présentation.
Plus particulièrement
La lumière. Voir chapitre IV
Rien à changer à la théorie. Sa formation est liée à la création de nouveaux composés et à l’agitation thermique.
Rien à changer non plus aux explications de l'éclairage et des images.
La vue pour les êtres vivants et le fonctionnement des systèmes nerveux. Voir chapitre VI.
Les signes fantômes pourraient confirmer les explications de l'Électronisme pour l’influx nerveux.
Les différents sens (sensations) sont des variations de celui du toucher, qui est, hors les nutriments, le seul lien entre les organismes et leur milieu.
Les différents organes des sens créent des nouvelles protéines dans les dentrites des extrémités des nerfs, puis tout fonctionne dans les systèmes nerveux des organes, groupes d’organes et organismes selon la qualité des nouvelles protéines créées.
Les modifications des protéines créent des perturbations de l'espace interne des organes. Elles se transmettent dans l’organe, puis les autres autour, et dans tout l’organisme.
Les signes fantômes pourraient correspondre à des particules créées dans l'espace interne des organes et autour, à leur limite externe pour déterminer cette limite.
Elle est variable avec la qualité de ces limites.
De la même façon que se créent tous les corps et objets, — en même temps que la gravité interne —, tel qu’expliqué au chapitre 3
Les variations des petites protéines dans les organes et organismes formeraient autour d’eux un faible nuage gravitique, tel l’atmosphère autour des objets.
Les signes fantômes ne varient pas immédiatement selon les activités…
Ce qui pourrait être un début d’explication du fonctionnement d’un quasi-système nerveux des plantes et tous autres êtres vivants.
Mais comment et pourquoi voyons-nous ces signes fantômes ?
Ils nous sont sensibles par quelque chose d’autre que les yeux…
Cela pourrait-il être une confirmation de ce que les sens des êtres vivants dits supérieurs seraient des variations, avec des capteurs différents, du sens du contact, seule sensation extérieure transmise à l’intérieur des systèmes nerveux ?
Ce qui expliquerait des « suivis » ou des retours inconscients d’images, d’odeur, de sons ou de goûts, selon leur importance et les événements dans les organismes et dans l’environnement ?
PhD - 4 août 2014
mardi 6 septembre 2016